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︎ Jeanne Galliari
thewaterseye@yahoo.com

Jeu de vagues


Vidéo, 3’48”
Couleur
2020, Ensba Lyon.
© Tous droits réservés


“On dit vous le savez, que le phénix renaît de ces cendres. Mais qui se souvent que la sirène renaquit de l'écume ? La Petite Sirène retrouva un corps et c'était maintenant un corps de femme.”
— Extrait de Jeu de vagues

Une réappropriation du conte d’Andersen, La Petite Sirène ainsi déplacé vers la pratique du roman-photo. Le décor artificiel, le jeu de rôle éxagéré et le sérieux de la voix-off nous plonge dans une narration décalée. Une mise en scène de la réapporiation et un lieu « cliché » où se joue le merveilleux. C’est autant un décalage, qu’une évolution contemporaine des pratiques de narrations d’antan.

 
2022 :
— Exposition collective,
Une(s) à la Hune, regards
(sur le) féminin(s) La Halle Roublot, Fontenay-sous-Bois

2021 :
— Festival de la jeune création numérique - FolFilmFestival
Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs, Paris

2020 :
— Diffusion de la bande sonore du court-métrage “Jeu de vagues” sur la radio L’Inommable
Ecole nationale supérieure des Beaux-arts, Lyon

Réalisation - scénario - production - montage :
Jeanne Galliari
Personnage :
Elsa Parisot
Récitant :
Georges Favre
Décor :
Jeanne Galliari
Costume :
Jeanne Galliari
Photographie - collage :
Jeanne Galliari
Sound design :
Jeanne Galliari
Musiques :
Debussy :
Nocturnes - Sirènes
Debussy :
La mer - Jeu de vagues
Remerciements :
Georges Favre
Vinça Monadé
Bruno Carbonnet
Alors, sa peau embrassa l’éclat translucide des abysses. La mémoire océane déposa son empreinte et elle fût emportée par le rythme de la marée, par son mouvement, par son cycle. Au sein de l’écotone, il y eut une harmonie parfaite entre l’animal et le minéral. Elle célèbra la naissance d’une nouvelle espèce aux frontières de l’imaginable. Une odyssée biologique, une union profonde entre la science et l’âme, une métamorphose du coeur, de la conscience et de l’intelligence.